Publisher's Synopsis
"... Il y a des hommes qui n'ont jamais su être jeunes, et c'est leur malheur; il y a des hommes qui veulent l'être toujours, et c'est leur ridicule. Massimo d'Azeglio, qui a su si naturellement s'élever au rôle de patriote quand l'heure est venue, avait tout bonnement commencé par le commencement. Adolescent à peine dans ces années qui suivaient 1815, voyant tout lui sourire, il dépensait sa jeunesse sans compter. Il était de toutes les fêtes et de tous les plaisirs, il remplissait la ville du bruit de ses équipées, et plus d'une fois le soir, après avoir fait son service à la Vénerie, où il était en garnison, il partait pour Turin, d'où il ne revenait qu'après une nuit passée dans une compagnie que la grâce moderne, dit-il, appelle poliment le demi-monde, mais que nous, plus primitifs, nous appelions autrement. Une des plus plaisantes histoires de ce temps est celle qu'il raconte..."