Publisher's Synopsis
La littérature dissémine les personnages de marcheurs comme autant de figures idéales, hésitant entre deux modes de relation au monde : l'un est voluptueux et esthétique, l'homme - flâneur ou promeneur - éprouvant sa joie de participer à l'harmonie générale ; l'autre est à la fois insatisfaction de soi et désir de découverte. Les auteurs nous promènent de la lexicologie de la marche à l'invention du cinéma, en passant par la poésie du voyage et la mise en scène du mouvement au théâtre, de l'iconographie de l'ivresse à la philosophie péripatéticienne.